Et la commune s'aperçut qu'elle n'était pas propriétaire de tous les terrains ....!
Le maire signe … un bail sur des terrains que la commune ne possède pas, alors que certains sont au milieu du projet. Exemples des parcelles 15 et 58. La décision d’acheter la parcelle 58 (en bleu) est prise seulement après le conseil municipal du 22 mai 2019.
A noter que le permis de construire accordé par la commune et M. Pradier, adjoint à l’urbanisme (et refusé par la DDTM zone ND du POS et classement en “espace boisé classé” pour protéger les bois communaux) concernait donc un terrain sur lequel (à la date de sa signature) la commune n’avait aucun droit. (Parcelle en bleu ci-dessous)
Cadastre ci-dessus et projet de … 2015 ci-dessous
Avril 2018 NEOEN aurait modifié une première fois son projet (deux zones bleues ci-dessous), pour l’éloigner d’une maison inscrite (tout en restant dans le périmètre des 500 m qui entoure tout lieu inscrit du patrimoine).
Mais au fait, la parcelle 58 restait toujours au milieu du projet et n’appartenait pas à la commune.
Notez qu’à aucun moment n’est figurée la zone périphérique de 50 m qui doit être complètement défrichée et dépourvue d’arbres !
Le parc se réduit à nouveau “pour soit disant s’éloigner un peu plus de la maison solaire inscrite au patrimoine architectural du XXe siècle” (à la demande de la direction régionale des affaires culturelles et un vote à la majorité de la commission moins une voix) et sans doute aussi pour éviter d’intervenir en défrichement sur une commune voisine (SERNHAC).
Toutefois la plus belle zone boisée entre la pointe EST et la limite de commune sera rasée ! Les chênes ont ici plus de 50 ans, prouvés par photos aériennes feux de 1961 et 1963). Un ilôt au centre de la parcelle 58 possède aussi de beaux chênes anciens.
Contours du dernier projet flous et aucun plan remis par NEOEN au jour de rédaction.
Vas-t-on aussi vers une réduction des sommes versées à la commune (le parc est réduit d’un tiers) ?
Image IGN “remonter le temps” de 1991
En haut à droite, la pointe qui contient les plus vieux chênes verts (très largement plus de 60 ans).
Au minimum 7/8 propriétaires auront à subir un débroussaillement quasi total de leurs terrains sur 50 m (tour du parc) sur 10 m (chemins d’accès). Aucun des propriétaires n’a été informé des atteintes à sa propriété. (Arrêté préfectoral)
Sur ce schéma on voit bien qu’AUCUNE bande arborée ne figurera en bordure des voies entourant le parc. M. Pradier a toujours prétendu que des bandes arborées protégeraient le parc de la vue.
(La visite du parc de Rochefort du Gard éclairera les sceptiques).
Utilisateurs occasionnels ou réguliers des bois, habitants du village amoureux de leur nature, demandent par des messages ou lors de rencontres sur le terrain :
“quand vous ferez une pétition, prévenez-nous, nous signerons !“
Réponse : A un certain stade de l’acceptation du projet, une pétition (papier et en ligne) sera mise à disposition.
Et de toute façon TOUTES les personnes qui se sentiront concernées par l’impact du projet, pourront se manifester lors des différentes enquêtes publiques ou d’élections locales.
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